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 Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique

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Mireille Van Roy
Admin
Mireille Van Roy


Messages : 585
Date d'inscription : 08/07/2015

Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique Empty
MessageSujet: Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique   Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique EmptyJeu 5 Mai - 23:39


   Presentation

   Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique Tumblr_nwos4nduPq1twrse4o1_540

   


   Helena Kostas

   


   Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique Votre avatar ici
   


       

         
  • Âge : 28 ans
         
  • Sexe :
         
  • Maître : un Inconnu (à voir)
         
  • Faction : Marinas
         
  • Armure souhaitée : Écaille du Dragon des Mers
         
  • Origine : Grecques
         
  • Caractéristiques spécial : Yeux devenus Violets
           

     

   


   Caractère

 Pour me décrire, je vais commencer par les points important pour que vous puissiez me cerner. En premier lieu, sachez que je suis une personne à la fois calme, dotée une apparence tempérée et je suis vue comme ne fille ne s’agitant pas pour rien. C’est un effet, de mon lunatisme, je change d’humeur en fonction de la personne qui se trouve en face de moi et de ses intentions à mon égard. Cependant, cela n’enlève pas le fait que je sois plutôt une personne franche, qui dit ce qu’elle pense, et qui ne se laisse pas faire, même si ma vie en dépendrait.

On me décrit aussi comme une bordélique, qui n’aime pas que tout soit bien ranger, dans un ordre précis, j’aime le mouvement, ce qui bouge. C’est pour ça qu’on m’inclut souvent la peur d’être enfermée dans une petite pièce, la claustrophobie. J’aime apprendre des autres, ma curiosité est grande sur ce monde, ce qui me pousse parfois dans des situations pas très… comment dire… agréable ? Mais je n’aime pas me faire remarquer quand c’est contre mon gré. A contrario, j’adore bavarder, de tout comme de rien, je prends la vie comme vient, trop terre à terre ou fataliste serait les adjectifs appropriés également.

Je me moque éperdument du vieux rêve féminin de sécurité. En effet, je me sent assez forte pour exister toute seule — hors de l'ombre d'un homme — et je me suis toujours considérée comme son égal. J’aime aller lire des livres en tout genre, passer mon temps plonger dans mon imaginaire. Imaginer, créer, dessiner, j’ai toujours un carnet, des feuilles avec moi dans mon sac, des stylos et de la peinture. J’aime la liberté. Ne pas à avoir être dépendante de qui que ce soit. Je ne refuse pas les amitiés mais j’ai tellement été dessus que je ne l’accorde plus à n’importe qui vous savez… Par contre, elle n'est pas toujours d'accord face à des tâches imposées par les autres, et se montrera même assez allergique aux contraintes et n’aura ainsi tendance à obéir qu’à son dieu ou quelqu'un de son rang. Le mot abandonner ne fait pas partie de mon vocabulaire c’est dans ses moment-là que je peux me montrer têtue malgré l’âge.

A voir comme ça, vous devez penser que j’ai que des défauts… mais c’est faux, -éclate de rire-, bon d’accord j’aime les gourmandises, c’est mon péché mignon mais tout de même, je suis plutôt débrouillarde, j’ai un bon instinct que j’essaye de suivre le plus souvent possible dans mes décisions, et en combat ! Car oui, depuis mon entraînement qui fut très galère pour la maîtrise de mes pouvoirs, j’ai appris à faire attention à mon environnement, et à développer des stratégies ! Je ne fais rien sans avoir réfléchit un minimum avant, bah oui c’est peut-être contradictoire mais c’est comme ça que je suis… Une perle rare bipolaire. Sinon mes goûts pour la musique, le dessin, la peinture, la cuisine, la collection d'objets en tout genre n'ont pas changés. J'ai récemment développée une peur des insectes, et des serpents.

   


   Physique
Une ombre se profilait au loin parmi les vagues de l’horizon qui frappait les rochers. Sa longue crinière couleur blé de son héritage paternel contrastait parfaitement avec le magnifique couché de soleil qui s’offrait à elle parmi les feuilles d’arbres. A cette silhouette féminine élégante, fine, avec une démarche déterminée et confiante.

Des formes tout ce qu’il y a de plus normales, ni trop grosses ni trop petites, un visage fin et ovale qui laisse transparaître une belle jeunesse mais cette jeunesse reste fragile comme une fleur, aussi bien niveau santé que niveau oreilles. Le problème de la ligne ne l'inquiète guère, s’adonnant de temps en temps à des excès alimentaires, car son activité incessante la protège contre l'obésité.

Ses pommettes rougissent pourtant facilement lorsqu’on l’aborde trop brusquement qu’on ne dirait pas qu’il s’agit d’une guerrière, elle est assez musclée et possède un bon poids dans les 55kg pour 1m68. Elle n'est donc pas en surpoids. Cette personne possède encore quelques imperfections physiques quelques boutons, et cicatrices traînent sur son corps au teint blanc comme la neige.

Ce corps accompagné de pieds à la fois longs possédants des doigts de pied en forme de fuseau avec un talon affiné. Une chevelure d'un magnifique blond couleur blé, de magnifiques yeux bleus océans. En dehors de son écaille, niveau style vestimentaire elle porte souvent une simple veste noire avec un haut blanc sans manches ou avec (en fonction du temps) avec une longue cape qu'elle utilise comme manteau noir ample. En bas, elle porte un simple pantalon, ou une simple jupe-short avec collant en dessous l'hiver principalement. Ainsi que des bottes à petits talons. Elle porte un médaillon en bracelet en forme de soleil, et une flûte toujours sur elle.


   

         
   Histoire

○ Prologue : Naissance ○
Lettre de Maria Kostas, Année 1982, Une bouteille à la Mer

J’avais quitté mes océans lorsque j’avais appris que j’étais tombée enceinte de toi. Je suis restée quelques semaines dans cet hôpital. La suite s'est finalement compliquée au bout d’un mois, à la veille de l’été suite. J’avais déjà perdu les eaux et beaucoup de sangs. Ta vie était menacée, étant une enfant prématurée, tu étais née trop tôt pour que je puisse le supporter correctement. C’est ainsi que tu es née ma fille.

Je t’avais tellement attendu ! J’avais tellement souffert pour t’avoir ! Tu ne sais pas à quel point ça a été douloureux, tu étais en position contraire, tu te rends compte ? Je ne pouvais pas me permettre d’échouer, car tu étais la seule que j’aurais de toute ma vie. J’ai fait de l’hypertension artérielle, j’ai cru que j’allais y rester. Finalement, la césarienne a réussi, je ne sais par quel miracle. Mais maintenant, tu étais enfin en ce monde, ma petite fille, mon amour, ma princesse. Mon ange, mon rayon de soleil. D’ailleurs, je t’appellerais Helena ! Tu porteras ainsi un éclat du soleil de ce bel été. Tu éclaireras le monde de ton sourire et de tes cheveux d’ors, certains disaient que tu me ressemblais, d’autre que tu ressemblais à ton père, mais pour moi, tu restais mon joyau des mers. Ma précieuse, mon enfant, n’oublie jamais que je t’aimerais toujours.

D’ailleurs, avec ton père, à la suite de la mort de son père, nous avons hérité d’une magnifique villa grâce à sa compagnie maritime qui se développa en alliant à la famille Solo depuis des générations. Je ne regrettais pas d’avoir quitté mon travail de scientifique océanographe. Ni d’avoir quitté mon ancien pays, Jamir. Vous avez bien entendu, je viens de ce fameux peuple qui vit reclus dans les montagnes de l’Himalaya. J’étais une guerrière au service d’Athéna, je ne peux pas me prononcer, ouvertement, mais voilà, ma fille, il faudra que tu le saches un jour.

Que ces différences ne te mènent pas la vie dure. Si j’ai déménagé de Jamir, je n’en ai pour autant jamais oublié Athéna, on me dit Transfuge, et mon nom a été oublié de l’histoire du sanctuaire. N’en veux pas à ton père de m’avoir arrachée à mes obligations, il m’a tirée de la misère et de mon statue d’Orpheline. C’est grâce à lui que j’ai pu vivre une vie d’humaine normale, je l’ai rencontré après avoir été grièvement blessée lors d’une bataille. Il m’a recueillie, soignée, et emmenée avec lui dans son monde. Nous avons parcouru les mers et les océans sur le voilier de sa compagnie, nous avons dansé, et mener une vie comme jamais personne d’autre n’en aurait vécu dans la luxure. Et puis nous sommes rentrés dans son pays d’origine quand tu es venue. Sache ma fille, que ceci est une bouteille envoyée à la mer, j’espère qu’elle te reviendra un jour pour que tu apprennes la vérité.

Je m’en remets à Athéna et Poséidon pour la suite des événements. Aux dieux en somme, moi qui n’étais pas croyante avant de rencontrer Athéna et ton père. Je dois dire que la roue de la destinée m’a bien aidé à changer, et j’espère qu’elle te guidera sur la bonne voie, ma fille chérie, je t’aime, et je serais toujours là pour te protéger, quoi qu’il arrive, je te lègue ce médaillon en forme de soleil que je tenais de ton père. Il sera ton porte-bonheur. Je t’aime Maria.

~ Elle disparue le 24 janvier de l’année 1982. Personne ne sait ce qu’il advenue de cette Maria Kostas, ni de ce Monsieur Kostas d’ailleurs qui fut porté disparu le lendemain. C’est ainsi que le nom Kostas sombra dans l’oubli. Et qu’on n’entendit plus jamais parler d’eux. ~


○ Chapitre 1 : L’Enfance ○
Journal d’Helena, Année 1986, Six ans, Mois de mars.

Il pleuvait ce jour-là, la classe passait lentement comme d’habitude. La maîtresse criait et hurlait dans tous les coins de la pièce. Moi, j’étais affalée sur mon siège regardant la pluie qui battait depuis combien de temps maintenant ? Quelque mois ? Je me demandais ce que signifiait ce déluge, c’était la première fois que j’avais peur. En tout cas, il faut dire que cela avait de quoi alimenter toutes les conversations, car ce n’était pas arrivé depuis… Des millénaires ? Depuis le grand déluge de l’arche de Noé pour moi. On ne pouvait même plus sortir faire nos pauses jusqu’à ce que le car scolaire vienne nous chercher. Je ne savais pas pourquoi, mais moi, ça me réjouissait, je me sentais différente des autres. Depuis le début qu’il avait commencé à pleuvoir.

Là où tout le monde sortait le parapluie, moi, je ne mettais qu’une simple capuche. C’était étrange, mais en y réfléchissant, j’avais toujours été un peu différente, surtout avec mes gros sourcils violets, enfin, ça ce n’était pas trop grave encore. Parfois, je me faisais peur moi-même, en me regardant dans la glace, j’avais l’impression que quelque chose me regardait. Comme d’habitude, on m’avait collé contre un mur, en m’humiliant publiquement, comme d’habitude, on m’avait insulté en écrivant sur mes habits. Comme d’habitude, il y avait tous ces regards croisés vers moi, ces regards haineux, ces voix off qui disaient secrètement « mais qu’elle se tue ». J’avais été lâché du jour au lendemain par ma seule amie sans savoir pourquoi, et à partir de là, je suis devenue le bouc émissaire de la classe.

Personne ne voulait de moi, avant quand j’étais avec elle, avant qu’elle ne déménage en Grèce, c’était une vie scolaire normale, une enfance normale. Alors pourquoi ? Pourquoi moi, je vivais l’enfer maintenant ? Pourquoi personne ne voulait de moi ? Pourquoi étais-je différente ? Encore une fois, je suis rentrée en pleure, sans avoir personne sur qui poser une épaule. Si tu savais comme c’est dur Maman. Je n’ai que six ans, et je suis déjà confronté à la dure réalité de la vie. Dans ce monde ou tous est dicté par l’argent, trouverais-je un jour mon bonheur ? Je ne suis qu’une gamine… Pourtant, je ne souhaite qu’une chose : qu’ils disparaissent tous ! J’ai mal Maman, comment devenir plus forte ? Comment devenir quelqu’un d’affirmer ?

À cause de ce groupe-là, je ne me sens plus capable de quoi que ce soit. Oups. Mes larmes font baver mon écriture… Je me sens si seule, n’y a-t-il donc personne pour entendre ma prière ? Tu sais Maman, parfois, je me sens attirée par les vagues que je vois dehors et qui s’abattent sur les baies vitrées de la maison. Sur la Véranda. Comment devrais-je réagir ? D’autant plus que je sens toujours cette étrange aura qui plané autour de moi, je ne sais pas ce que c’est. Une énergie sombre qui attire le malheur peut-être ? Et que c’est pour cette raison que je suis toujours laissée derrière ? Dis-moi maman, pourquoi a-t-il fallu que vous disparaissiez ? Toi et Papa ? N’y avait-il pas une autre solution ? Je pense à vous lorsque je veux m’ouvrir les veines, et à cette citation de la vie que je trouve juste :

« La vie passe tellement vite. Si tu ne t’arrêtes pas pour regarder autour de toi de temps en temps, tu pourrais la manquer »
Je n’ai que six années de vie, je ne perdrais pas contre ceux qui me veulent du mal, je vous le promets, cette citation réchauffe mon cœur, et me redonne un mince espoir. À chaque fois que l’on m’embête sur mon front large, ou sur mes sourcils, parfois, je trouvais le courage en puisant dans ma colère, de leur mettre une belle droite. Lorsque je leur demande pourquoi, je n’ai pas de réponse. J’en ai pourtant marre, quelque part, une partie de moi me dit que j’aimerais disparaître moi aussi, mais une partie de mon cœur et de mon esprit me guide vers la lumière.

Je ne sais pas quoi faire. Rester à la surface, ou sombrer. Sombrer pour être oubliée, durs dilemmes pour une enfant de mon âge non ? Que faire ? J’aimerais juste avoir quelqu’un à qui en parler, quelqu’un qui me consolerait, quelqu’un qui me comprend. Si je n’y arrive pas, je fermerai mon cœur dans la glace. Ce n’est peut-être qu’un caprice de la vie, mais c’est aussi une décision pour me permettre de lutter, de rester et devenir plus forte, ne plus jamais me laisser atteindre par leurs piques, par leurs écritures, par les tuyaux d’eau qu’elles me jettent en pleine figure dans les toilettes. Je ne me sens pas bien… J’ai besoin de dormir. Un peu de musique, et ça devrait aller. Enfin, je l’espère.

Journal d’Helena, Année 1986, Six ans, Mois de Juillet. Grèce.

Cher Journal, aujourd’hui, je suis dehors, là, je suis assise sur un mur de pierre et j’observe les bateaux, je suis en voyage scolaire de fin d’année, c’était une tradition de l’école depuis toujours. On était en classe sous-marine, c’était vraiment trop bien ! Hormis d’être tenue à l’écart dans les groupes où j’étais. Je soupire. Enfin ce n’est pas grave ! Car on avait eu de la chance que le voyage ne soit pas annulé ! La pluie qui dominait le monde avait enfin cessé ! Bon, elle avait quand même fait beaucoup d’inondations à travers le monde, il y avait eu pas mal de tsunami qui avait balayé plusieurs côtes. Nous sommes sur le port de Pirée ! Le plus grand Port du pays de la Grèce ! Notre nouveau pays puisque notre île Rhodes, a été balayée suite un Tsunami ayant entraîné un séisme… Nous ne sommes pas beaucoup de survivants, et notre classe a été réduite de moitié. À croire que ma prière fut entendue par Poséidon lui-même !

Enfin qu’est-ce que je raconte-moi… N’importe quoi ! Poséidon n’est qu’un dieu de notre mythologie, il ne peut pas… Exister ? Si ? Non ! Non ! Tu délires ma fille. Bon pas plus que d’habitude, à force de se prendre la tête avec les autres… L’un des médecins qui me surveillait et avec qui j’aimais à peu près discuter depuis quelque temps, me trouvait changée… Dans ma moralité, depuis la perte de notre île de la mer Egée… Sérieusement ? Il était sérieux ? Non mais non quoi ! Je sais que j’étais bipolaire, mais tout de même, il ne fallait pas pousser le bouchon trop loin, spèce de vicieux superstitieux ! Franchement… N’importe quoi… Comme si moi, je pouvais contrôler les éléments ! Et puis quoi encore ! Surtout que quand j’essaye avec mes mains ça ne marche pas… En tout cas, mes journées se passent bien mieux sans ses énergumènes… Mais la rumeur court toujours que c’est DE MA FAUTE ! Bah oui ! Comme si moi, je pouvais contrôler les éléments ! Même en taquinerie, je frappais parce que c’était embêtant à la longue !

Hum… que pourrais-je rajouter ? Ha oui ! J’ai fait la rencontre de cet homme… Nommé Julian Solo et qui était un partenaire de mon père… ? Je ne savais pas que ma famille avait de si puissantes relations….... Il nous est venu en aide en donnant des fonds à l’Orphelinat ou notre groupe de classe avait été recueilli après la tempête qui engloutit notre île. Comme s’il essayait de se faire pardonner pour un acte qu’il n’avait pas commis… J’avais ressenti une grande force en lui. Une si grande force que je pouvais plus dire un mot lorsque son regard avait croisé le mien, c’était d’ailleurs la première fois que je me laissais faire par un inconnu. Il était imposant avec ses cheveux bleus en bataille, et son regard était attirant, pourtant, mon cœur se figea. Je n’arrive toujours pas à m’expliquer ce qui s’est passé, c’était comme si, cette rencontre était prédestinée. Pourtant, l’homme en veste violette qui l’accompagnait me semblait comme moi ?

Il m’a tendu la main ce jour-là. Me disant qu’il sentait une grande force encore non réveillée en moi. Je fis les gros yeux, regardant mes propres camarades tous aussi ébahis que moi. Ma directrice était en choque elle aussi. Personne pas même moi, n’arrivait à comprendre ce qui venait de se passer. Cet homme s’était retiré comme il était venu continuant son œuvre un peu partout dans le pays. Et moi, j’étais restée là, assise sur ma chaise à contempler le plafond, rangeant mon assiette dans la cuisine, je ne savais pas pourquoi, quelque chose me poussait indirectement à suivre ses hommes. J’ai fait mon sac et je suis partie.

~ Et cette simple rencontre à bouleversé ma vie… Je l’avais rejointe à l’adresse qu’il m’avait glissé dans mon manteau, ils s’apprêtaient à prendre l’avion. C’est ainsi que se terminèrent l’année de mon sixième anniversaire et mon enfance troublée. ~


○ Chapitre 2 : Nouvelle Vie ○
Année 1990, 10 ans, En Voyage à travers le monde. Début de l’entraînement.

Cela va maintenant faire quatre ans que j’ai quitté la Grèce. De nombreuses choses se sont passées… Hum. Peu de temps après la fin du Déluge, notre planète fut frappée par une mystérieuse éclipse qui assombrit la planète entière, la remplissant de poussière, et d’obscurité, la nuit occultant le jour, la nourriture était devenue rare. Les humains mourraient les uns après les autres. Je voyageais aux côtés de Monsieur Solo et de Sorrento, celui-ci était un peu mon précepteur. Ignorant, toujours que celui-ci était la réincarnation de notre seigneur Poséidon. -Enfin, l’ancienne réincarnation, Il y a trente ans quoi-. Je finis donc par comprendre pourquoi il voyageait aux quatre coins du Globe en aidant les réfugiés du déluge de 86.

C’est lui qui m’a quasiment tous appris sur le monde, il a terminé ce que l’école n’avait pas pu faire pour moi, il était devenu comme un frère pour moi. Nous avons partagé beaucoup de choses, et de bons moments. Je me sentais privilégiée. C’était comme si le destin avait choisi de me lier à l’Empereur. Il m’a également appris tout ce que je sais sur les guerres saintes, l’origine de la force qui sommeillait en moi. Cette force que j’avais voulu apprendre à réveiller, et à contrôler.
Évidemment, comme il me l’expliqua, au début se fut trop galère ! Pour découvrir cette force, il fallut que je pousse un cri de rage, et que je lève les bras vers le sol. La première fois, je le fis certes instinctivement, mais les autres fois… Ce ne fut pas la même histoire. Non, Sorrento avait beau me dire et me répéter que cette force était importante, non seulement pour me protéger moi, mais aussi mon futur empereur, je n’arrivais à la matérialiser que quelques minutes sous le coup de mes émotions.

Je ne savais pas comment faire pour activer cet univers. La première fois, je le fis certes instinctivement, mais les autres fois… Je me souviens avoir essayé au moins une dizaine de fois. Et puis, un jour, il y eut un déclic, un déblocage, quelque chose qui me permit d’utiliser le cosmos sans forcer son activation. J’étais plus concentrée sur mon objectif de frapper maître Sorrento. Voilà la différence avec les fois précédentes.

Il m’encourageait également bien plus. Sous le regard amusé et protecteur de Julian, qui me donnait parfois des conseils, mais parfois, il était gêné, car sa force ne venait pas de lui-même, mais du dieu des mers. J’avais pris l’habitude de grimper carrément sur ses épaules pour le réconforter. -Bien évidemment aujourd’hui ma relation avec Poséidon est bien différente puisqu’il ne s’agit plus de Julian-.

Nous restions rarement aux mêmes endroits plus d’un mois, je recevais des cours particuliers par Sorrento, il m’apprenait à me défendre d’abord, et à riposter ensuite. Il m’apprit à jouer d’un instrument de musique, la flûte. Son instrument fétiche. Il m’en offrit une copie en souvenir alors que je réussissais petit à petit à éveiller le cosmos et à le contrôler plus de 10 minutes. Il me donnait des cours d’escrime, sur les arts, c’était une vie bien différente de celle des autres enfants de mon âge, j’en avais conscience depuis très longtemps. Et j’en profitais désormais bien mieux, en fait, depuis que j’avais accepté cette main tendue.

Je m’entraînais dans des endroits différents, à chaque fois que l’on était dans un pays, je faisais des exercices physiques, des épreuves de survies, je me souviens même d’avoir été dans une grotte mystique afin d’aiguiller mes sens, me faire prendre conscience qu’ils étaient importants. Cependant, plus j’augmentais mes entraînements, plus je lisais, plus je me documentais, plus je m’enfermais dans une sorte de bulle, d’univers que je me créais. Plus les effets de mon caractère lunatique devenaient proches du bipolaire. Sorrento s’inquiétait pour moi, pour sa protégée, mais il ne le montrait pas, n’étant pas un grand bavard lui non-plus. Il remarquait que je me tenais à l’écart des autres enfants lorsqu’on allait aux refuges sinistrés du déluge, lorsqu’on faisait les dons de la compagnie maritime Solo aux enfants d’Orphelinats. J’en ai fait des cauchemars, car plusieurs souvenirs sont remontés, durant ces quatre années de voyages.

Je me suis bien sûre blessée plusieurs fois, mais je me relevais sans cesses, idem à l’entraînement, qui ne durait jamais toute la journée, aux vues des occupations de mes frères adoptifs, car oui, pour moi ils étaient tous les deux devenus ma famille ! La seule famille qu’il me restait et qui m’avait accepté telle que j’étais. Parce que même si je ne disais plus rien sur ma vie d’avant, mon sommeil était agité, pour preuve, durant mes cauchemars, je rêvais des fantômes de mes camarades qui revenaient me hanter, je rêvais d’une maison brûlée, d’une disparition précaire de mes parents. J’étais tourmentée. Je n’arrivais pas à tourner les pages du passé. Malgré toute l’affection donnée par Julian et Sorrento qui étaient importants pour moi.

~Bref, après cela, je prenais moins de temps pour écrire, je pense que j’en avais de moins en moins besoin, et que je prenais confiance en moi, au fur et à mesure que je développais ma force, et mon cosmos. ~

○ Chapitre 3 : Fins des Voyages, Morts de Julian & Sorrento /Une Nouvelle Sirène Maléfique, En Avant pour l’Atlantide, le Royaume sous-marin ○
Journal d’Helena, Année 2007, 27 ans

Mon journal, aujourd’hui, je viens t’annoncer une mauvaise nouvelle et une bonne nouvelle. La première, c’est qu’il y eut une tempête. Et que cette tempête imprévue fit qu’il se mit à pleuvoir beaucoup, beaucoup plus que d’habitude, les vagues se déchaînaient, grandissaient au fur et à mesure qu’elles s’approchaient du rivage. Et plus je voulais aller voir ce spectacle plus je sentais la force en monter et me submerger. Lorsque l’on prit la décision de s’approcher –un peu trop près - sur la plage pour observer de plus près la tempête, Sorrento et Julian sur leurs lits de mort furent agréablement surpris de voir qu’elle ne nous touchait pas et que mon aura et mon corps brillaient de mille éclats bleutés.

Je sentis rapidement mon regard plonger inlassablement vers des pensées infinies. D’ailleurs, j’ai presque cru me retrouver dans un rêve. Je perdis finalement connaissance lorsqu’une lumière jaillit de la mer vers les cieux pendant que je marchais toujours plus profondément vers et dans l’océan. Je me perdais et me dis que je ne devais pas avoir peur. Sorrento me réconfortait, je l’entendais, mais ne le voyais pas. Je fus la seule à sombrer en Atlantide, et mon cosmos fut ainsi véritablement éveillé en moi. Il était désormais à sa pleine puissance.

Je voulus remonter à la surface, seulement, je ne pouvais pas… j’étais comme attirée par quelque chose, quelque part, une place centrale s’offrit à moi et c’est ainsi qu’une écaille vint alors recouvrir mon corps de femme, celle de la Sirène. Mais alors … Sorrento dans tout ça ? Et Julian ? Je ne les revis plus jamais… à partir de ce jour où je fus choisie pour le remplacer. Ou je devins l’élue de la Sirène. J’avais atteint mon but et était devenue l’une des rares femmes à servir l’empereur des mers. Mais à quel prix ? Au prix de perdre tous ceux qui m’étaient chers ?

Je continuais néanmoins à avancer, et prenait petit à petit mes marques. Je recevais de plus en plus de missions après avoir été reconnue par mon Empereur. Pourtant, quelque chose en moi me manquerait pour toujours, c’était la présence de Sorrento, de ma famille. Même si je savais désormais pourquoi j’étais née en ce monde : servir Poséidon. Ma seule et unique raison de vivre caractérisé par mes yeux devenus violets suite à une utilisation régulière de mon cosmos.

Je me renfermais un peu plus chaque jour sur moi-même, un mutisme s’installait également petit à petit, me forgeant une carapace. Je m’entraînais jours et nuits, sans forcément prendre le temps d’une pause, et si j’avais petit à petit décidé de laisser ma féminité derrière moi, je pris par contre la décision de continuer à faire pousser mes cheveux blonds. Ce fut en ce temps-là, un peu comme une revanche sur ma vie. Je repris la petite flûte que Sorrento m’avait offerte durant un temps de pose et reprit à faire de la musique.

Quelque mois plus tard, je fus envoyée quelque temps aux alentours de la mer méditerranée. Pendant 5 ans plus précisément ou j’effectuais des patrouilles entre Atlantis et cette contrée, ou j’essayais de démontrer ma force et de me faire respecter en négociant des objets avec les étrangers pour les Atlantes de toutes sortes, mais aussi pour moi. C’est ainsi que j’arrivais à faire évoluer ma force et à la maîtriser sous une autre forme petit à petit. J’améliorais encore et toujours mes attaques qui finissaient par devenir de plus en plus mystiques et réelles à la fois.

En prenant « de la vraie consistance cosmique » connue comme étant le Septième sens. Au fur et à mesure que j’arrivais à vivre avec le poids de la solitude, certains pouvaient voir que j’obtenais de plus des qualités en général réservées aux hommes, dans les habits, je devenais garçon manqué et mon mutisme disparut pourtant définitivement en cette année de 2016. Je pouvais enfin prendre ma véritable place auprès de mon nouvel Empereur, j’avais hâte de lui être utile et de me battre pour lui. Je venais de terminer d’apprendre à maîtriser l’attaque fétiche de mon maître, celle bercée d’illusions, le Dead End Symphony. Je dois à présent me présenter au nouvel hôte de mon Empereur.

C'est pour le moment la fin de notre aventure ensemble mon cher journal, prends bien soins des secrets de ma vie s'il te plait merci ~

   

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  • Votre Nom/ Surnom : sailorcosmos      
  • Votre Âge : 18 vagues d'été
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Dernière édition par Mireille Van Roy le Sam 28 Mai - 17:44, édité 9 fois
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Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique Empty
MessageSujet: Re: Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique   Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique EmptyVen 6 Mai - 0:58

Tu étais là, te tenant sous la voute céleste tandis que le monde se cristallisais dans la guerre. Tu observais et te demandais depuis combien de temps cela en était-t-il ainsi ? Si l’homme apprendrait un jour de ces erreurs. Même si tu savais bien que ce fût quelque chose d’humain, l’histoire prouvait bien souvent que l’humanité répétait encore et encore sans forcément chercher à comprendre. Positionnée au sol, sous une bannière de drapeau volants au grès du vent, les cheveux au vent, tu t’interrogeais sur l’avenir du monde et le passé qui te hantais depuis quelque temps maintenant. L’Armure de la Vierge sur les épaules, et tes sens en alerte, tu lèves tes prunelles closes vers le monde des rêves. Assez de méditation en transe pour aujourd’hui. D’autant plus que tu avais encore pas mal de chemin jusqu’au sanctuaire. Il était vrai que tu aurais pu prendre l’avion, ou encore le chemin de fer pour te rendre en Grèce, mais tu préférais le moyen le plus simpliste : la marche ou le taxi. En tant que bouddhiste, tu marchais pieds nus certes, mais tu étais habitué.
Parfois on me posait des questions sur mes origines, me demandant qui j’étais, d’où je venais, ce que faisaient mes parents. Et à chaque fois je répondais la même chose : ça ne vous regarde pas. En réalité, il est possible qu’il soit douloureux mais pour vous étrangers qui me rencontrez, tu te sens prête à franchir le cap. Ainsi, vous découvrirez que ta ville de naissance n’est pas celle qui te vis grandir. Et pour cause, tes parents changèrent de vie en se perfectionnant dans joaillerie et dans l’artisanat d’art. Ils exportaient les pierres précieuses aux quatre coins du monde, et ton père était souvent absent. Ton éducation fut donc traditionnelle, et stricte, organisée par ma mère. Vous me demandez si tu étais fille unique ? A cette question, tu répondras simplement que non. Tu avais un grand-frère dont l’objet d’attention était l’entreprise familiale. La maison était spacieuse, et possédait un jardin qui donnait directement accès sur la rive gauche du Gange, le fleuve sacré de ton pays. Elle possédait également sa propre terre de riziculture et de production de soie, signe d’une grande bourgeoisie. Ce qui n’était pas donné à tout le monde dans ce pays ou la population était majoritairement pauvre.
Ta mère ne te parla jamais vraiment d’elle, ni du comment elle avait rencontré ton père, sa préoccupation majeure était bien plus profonde et philosophique que cela. Puisqu’il s’agissait de t’initier au bouddhisme. Ce courant dont la forme ultime de vie était d’accéder au Nirvana en empruntant sa propre voie du bonheur. Il fallait pour cela suivre pas mal de critères à la lettre, notamment pour les Quatre nobles Vérités. Il y avait des prières à chaque repas, et des séances de méditations pendant que tu apprenais sur le monde, et que tu pratiquais les arts martiaux indiens de la région. Ta mère était peut-être stricte mais bienveillante et toujours là pour répondre à tes besoins, et surtout à tes questions. Et puis un jour, le mal frappa ta famille lors d’une grande mousson qui dura plusieurs jours et qui fut bien plus dense que d’habitude.
C’est à partir de là, que ta vie bascula. Comme la tradition l’exigeait, ton père fut envoyé en crémation sur le Gange. Ce moment marqua à jamais le changement de point de vue que tu te faisais de la vie. La peine que tu avais te rendais plus forte, tu ne montrais rien contrairement à ton frère qui pleurait comme ta mère. Tu te souviens de la gifle pour être resté insensible extérieurement. Cette gifle qui te révéla l’ascendance de ta famille, une famille du peuple de Jamir et que s’était pour cette raison que tu possédais des sourcils violets plus gros que la normale. A la fin de la crémation, tu te souviens que ta mère utilisa son cosmos pour vous téléporter tous les trois dans les magnifiques montagnes de Jamir qui se situait dans l’Himalaya. Elle avait pris la décision de nous élever en tant que futurs saints au service d’Athéna, et comme la famille était une experte en Joailleries, elle leur révéla qu’ils étaient également de bons forgerons et réparateurs d’armures. Ce fut le début de ma vie. Seulement à l’époque, le maître fut Mû du Bélier, qui avait un apprenti nommé Kiki désormais professeur à la Palestre.
Ta mère ne voulait pas se séparer de vous avant d’être sûre de nous avoir inculqué une éducation de Saints. Les séances de méditations, les cours de réparations d’armures furent ce qui vint compléter les entraînements physiques. Et plus tu méditais, plus tu te sentais devenir une personne différente. Tu sentais que tes sens s’amélioraient. Mais ce n’était pas tout ! Une force sommeillait en toi. Tu la sentais du plus profond de ton être. Ce que tu recherchais n'était que la vérité. Mais rien ne venait. Absolument rien. Alors tu méditais et attendais. Tu sentais que tu devenais une personne hors du temps. Ta mère vous expliqua et vous légua tous ce que vous deviez savoir sur les guerres saintes, les chevaleries, les différents camps, les différents dieux qui souhaitaient s’emparer de ta planète bleue.
Cela renforçait ta détermination à aller plus loin. Lorsque ton frère dormait tu t’entraînais ou méditait encore. Un jour en t’énervant après ton frère qui avait troublé l’ambiance avec un discours plutôt sombre, tu déclenchas ton pouvoir de psychokinésie en envoyant valser le jeune apprenti dans les airs, qui avait été réceptionné par votre mère. A partir de là, tu te posais beaucoup de questions sur ton avenir. Sur tes propres croyances. Pourquoi devrais-tu croire en une déesse que l'on t’avait imposé ? Pourquoi renier Bouddha et tous les sacrifices qui avait lieu sur le Gange ? Ces questions devinrent cauchemars jusqu’au jour ou ta mère leva le doute après un exercice de téléportation sur un pic rocheux.
« En ce monde chaque chose dotée de vie change à chaque instant, comme la vie des hommes. Tout être prend conscience à un moment donné de son erreur toutefois, la cupidité a rendu l'homme arrogant et égoïste, c'est pour changer qu'ils vont purifier leurs âmes dans cette rivière sacrée, pour pouvoir passer l'étape de la mort en toute tranquillité » Telle fut la réponse souriante et déterminée de ta mère qui te présenta ensuite la liste des différentes constellations et armures.
Garder son sang-froid n'avait pas toujours été évident. En fait, elle t'avait expliqué que les Gold Saints venaient tous d’origines différentes, comme les argents et les Bronzes. Chacun avait ses dieux, ses croyances, et était réunis sous une même bannière ! Celle d’Athéna, pour la paix et la justice, protéger l’humanité à tous prix, car la vie humaine était précieuse. Et surtout, que s’était à chacun de décider ce qu’on faisait de sa vie. Une nuit ou tu n’arrivais pas à dormir car tu réfléchissais à une possible armure. Ton frère vint te parler de la Vierge, une longue discussion pour finalement arriver sur le fait que les saints de cette constellation se servaient de la méditation pour augmenter la puissance spirituelle de leurs cosmos pour l'élever au septième sens.
Tu n’arrivais même pas à en avoir six, alors un septième. Il fallait que tu trouves la clé par toi-même, qu'il avait dit. Que tu te débarrasses de tes doutes, mais ça, c'était plus facile à dire qu'à faire. Des heures perdues, à essayer de développer tes sens, de les faire atteindre un autre niveau que la normale. Atteindre un niveau de conscience supérieur était le but de la méditation. Élever l'énergie et la relâcher en un point nommé. La première phase de l'entraînement ce fut ça. Jours et nuits, jusqu'à épuisement. Dans un silence toujours plus profond. L’autre phase de l’entraînement était également d’apprendre à se téléporter correctement, car avoir des dons d’ancêtres s’était bien, mais si on ne savait pas s’en servir, bah ça ne servait à rien ! Tout simplement ! Ce fut ainsi ta nouvelle vie, cependant, tu te demandais quand même le rapport entre la guerre sainte et la mort de ton père. Tu avais posé la question plusieurs fois, mais elle était toujours restée sans réponses. Ton frère lui non plus n’en n’eut jamais.
En seulement quelques années tu réussis à atteindre un niveau Bronze, puis argent bien supérieur à celui de la moyenne selon ta mère qui arborait une armure Silver. Ton cosmos commençait à prendre une lueur dorée scintillante, tu appris ta première attaque spirituelle au prix de multiples efforts pour trouver ta faiblesse, et tes qualités, car selon ta mère : trouver ses points forts et faibles était signe de sagesse et de persévérance. Cela te permettrait de bien te connaître également. Pourquoi tu ne mettais pas les pieds au sanctuaire ? Selon ma mère, tu n’étais pas encore prête à l’époque, il te fallait encore un peu de temps, surtout que tu ne savais toujours pas quelle constellation voudrait bien de toi. Malgré ce double entraînement, que tu avais subit à créer des illusions, à augmenter ton cosmos jusqu'à son paroxysme. Enfin, jusqu'aux limites que pouvait supporter ton corps. Fallait-il réussir à dépasser ses limites pour développer et maîtriser le septième sens ?
Tu ne perdais pas espoir, quelque chose te motivait, plus tu te prenais de raclées en essayant de toucher au moins une fois dans les journées ton frère, plus tu développais ton cosmos et plus tu dépassais tes limites. Toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus forte. Ta mère se contentait d’être une observatrice, et te faisais combattre contre ton frère, et inversement. Du haut de la maison de Jamir, tu observais le monde, et lorsque tu priais les dieux, tu étais triste, car tu réalisais que presque chaque chose en ce monde n’était que tristesse. Mais là où il y avait de la haine et de la colère, il y avait également de la joie et de l’amour, de l’espoir. Tu lisais pas mal de bouquins emprunté dans la petite bibliothèque de la salle de méditation. En fait, ta vie se résumait à ça en quelque sorte. Un jour qui fut différent des autres, fut celui où tu réussis à faire entrer ton cosmos en résonnance avec une armure dorée lorsque tu appris à maîtriser entièrement le septième sens.
Le moins que l’on puisse c’était que vous fumes tous surpris, toi la première, l’armure de la Vierge… la constellation s’était mise à briller dans le ciel dégagé de Jamir. L’armure t’avais choisi toi ! Et l’ombre d’une personne blonde comme toi, aux yeux bleus était apparu.
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MessageSujet: Re: Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique   Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique EmptyJeu 12 Mai - 22:47


   [REMPLACER LE MOT SYMBOLESAINTS PAR SYMBOLESPECTRES, SYMBOLEASES ... EN FONCTION DU CAMP]
   Helena de Circée, la Magicienne
   
   
Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique Sans_t15
   ✗ Nom // Prénom: : Kostas Helena
   ✗ Âge : 34 ans
   ✗ Signe Astrologique: A déterminer
   ✗ Origine: Grecques & Jamiriennes
   ✗ Divinité Protégée : Poséidon
   ✗ Maître : Sorrento
   ✗ Lieu d'Entraînement : Aucun en particulier, Atlantis désormais
   ✗ Niveau: Silver
   


   Répartition des points: PP, AP et XP
   
   
   

   ✗ Toutdur: 0
   ✗ Fondu: 0
   ✗ Hésitant: 0
   ✗ Joueur: 0
   ✗ Chieur: 0
   ✗ Spécialiste: 0
   ✗ Altruiste: 0

   ✗ Total: 60/100
   ✗ Non dépensés: 60/60
   

   ✗ AP Validation: 195
   ✗ AP Gagnés:
   ✗ AP Totaux:
   ✗ AP Restants: 195

   ✗ XP Gagnés:
   ✗ XP Restants:
   


   Évolution du personnage
   
   ✗ Récompenses :
   


   ✗ Récompense de niveaux:
   


   ✗ Entraînements Réalisés:
   


   ✗ Achats Réalisés:

   


   Liste des RP
   
   ✗ RP GS :
   


   ✗ RP FB:
   


   

   


Dernière édition par Mireille Van Roy le Sam 21 Mai - 22:27, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique   Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique EmptyJeu 12 Mai - 22:48

Fiche de combat
Statistiques & Particularités
✗ HP//PA: 250//7

✗ Pouvoirs spéciaux: (Issus des récompenses de niveaux)

Attaques


Attaque 1: Nom de l'attaque
descriptif de l'attaque
descriptif du mode stat


Capacités



Perks & Antiperks



Dons RP

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MessageSujet: Re: Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique   Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique EmptyVen 16 Juin - 15:33


   Presentation

   Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique 473164presheader

   


Miroslawa  Czapski  


   


   Et l'ange est venue du ciel dans la vie Aquatique Votre avatar ici
   


       

         
  • Âge : 22 ans
         
  • Sexe :
         
  • Maître : Alexandre, représentant d'une sirène déchue liée à Poséidon.
         
  • Faction : Spectre

         
  • Armure souhaitée : Étoile Céleste des Âmes (Necromancien)
         
  • Origine : Pologne, Varsovie
         
  • Caractéristique spéciale : Don de Médium, & Voit les morts
           

     

   


   Caractère
Philosophique ○ Lunatique ○ Intelligente ○ Pacifique ○ Empathique ○ Cordiale

Distante ○ Réservée ○ Mystérieuse ○ Énigmatique ○ Solitaire ○


   Je vis aux frontières du réel, je suis une ombre qui vie entre les morts et les vivants. Je suis un peu comme une sorte de guide spirituel. Après tout, je ne suis pas quelqu’un de normal. Je n’ai jamais été comme les autres, souvent prit pour une demeurée, je me demande parfois si être humaine vaut le coup. Si finalement ma place ne serait pas auprès d’Hadès, le seigneur des ténèbres. Je suis un être paranormale, un spectre, une ombre fantomatique qui vit entre deux mondes. Et pourtant, je ne suis pas éternelle et qu’elle plaie ! Chaque jour qui passe à côtoyer la mort et la vie t’a rendu distante. Et protectrice envers l’âme des gens, des personnes, car l’âme c’est ce qui rend humain une chose.

C’est ce qui rend vivant dans l’immensité de l’univers, un petit point composé uniquement d’atomes. La vie est éphémère, alors c’est à nous d’en donner un sens.  Le destin guide le hasard de nos différents chemins ici et là ou est notre place.  La vie n’est pas un long fleuve tranquille. C’est ce que j’ai appris grâce à mon don. C’est ce qui me rend différente des autres. En tout point de vue. J’ai acquis les connaissances du passé en discutant avec l’âme des défunts que j’ai aidé. Constamment entre la limite de l’ombre et de la lumière, je me forge un empire de qualité et défauts qui évoluent en fonction de mes humeurs. Rien n’est définit à l’avance. Rien n’est prévisible.

Après tout, je ne sais pas vraiment si je suis un ange ou un démon, je suis le bien ou le mal. Je dirais plutôt que je suis une médiatrice. Un juge. Mon existence est guidée à chaque instant par mes pensées et ma raison d’être. Après tout, nous existons tous pour une raison. Et si la vie est illusoire, passer notre temps à rêver d’idéal n’est peut-être pas le meilleur moyen que nous avons pour faire avancer les choses. Il ne faut pas gaspiller la vie qu’on nous a offerte. Un cycle de mort et naissance est évident pourtant. Une vie meurt et une naît. Parfois, nous tombons dans l’oubli. Parfois pourtant, nous devenons des héros, et les gens retiennent notre nom.

Moi je ne suis rien de tout ça, et je m’en contre-fiche. Je sers mes idéaux, honneur, fidélité, et mon don. Parce que c’est ce qui me rend unique et car toute personne en ce monde est unique. Nous sommes faits pour être uniques et différents les uns des autres. Sinon la vie serait bien fade et noire. Je ne suis ni noire, ni blanche, je suis grise. Nous n’avons qu’une vie alors il faut en profiter autant que l’on en peut. Je l’ai appris à mes dépends durant de nombreuses années. Le savoir c’est le pouvoir, mais la manière dont nous l’utilisons détermine si nous sommes bons ou mauvais. Le savoir est quelque chose d’universel et un droit. C’est important. C’est pour cela que j’aime lire beaucoup et apprendre des choses encore et toujours.

Je suis un être énigmatique et mystérieuse que l’on doit apprendre à connaître et à apprivoiser. Je ne donne plus ma confiance facilement à cause de mon enfance. Pourtant, j’aime rigoler et parler de tout comme de rien, parfois il m’arrive d’aider les gens aussi. La solitude est bonne si elle est partagée avec quelqu’un. Le rêve est ma seule libération, alors j’aime rêver, avoir la tête dans les nuages pour me libérer de tous ces fardeaux et ces souvenirs de défunts. Mes voyages m’ont ouvert les yeux sur l’humanité, et la signification d’être humaine. Humaine, c’est vivre sa vie comme on l’entend, tout en se souciant des autres.

La liberté est chose importante et à laquelle je tiens, chaque homme se doit d’être libre et égaux, peu importe sa situation initiale. Oui, j’ai une pensée philosophique, mais que voulez-vous ? c’est une de mes plus grandes qualités. Comme le fait, que je déteste particulièrement l’usage de la violence gratuite sur autrui. Je déteste l’odeur du sang. La mort et la vie sont mon quotidien… c’est vrai… mais cela ne veut pas tout dire. Apprenez à me connaître et jugez par vous-même ensuite.  Je suis plus empathique qu’il n’y parait, alors ouvrez l’œil, car j’aime prendre soin des autres.  

   


   Physique

Une longue chevelure blonde lui arrive jusqu'aux épaules. Elle attache souvent ses cheveux en une queue de cheval, vers le bas ou les cachent avec un chapeau blanc/noir. Deux mèches lui encadrent son visage ovale avec son double menton pointu. Un nez concave, creusé au milieu avec la pointe s’élançant très légèrement vers l’avant. Elle a de grands yeux gris-bleus avec un regard pétillant d’énergie. Elle possède quelques imperfections comme des cicatrices, et des bleus. Des petits boutons… et elle possède une perds de lunette dont elle se sert pour lire et voir de loin.  

Elle a une morphologie en A, en “pyramide”, c’est-à-dire qu’elle possède une carrure plus étroite en haut, au niveau des épaules, qu’au niveau de ses hanches. Elle mesure dans les 1m60 et possède par conséquent un poids-plume de 57KG tout ce qu'il y a de plus normal. Elle n’est pas en surpoids, ou en tout cas, elle surveille sa ligne de très près. Même si elle est moins superficielle que certains spectres. Idem pour la poitrine elle se trouve dans la moyenne.

Pour terminer, ses pieds ont quant à eux une forme « égyptienne », son orteil est plus long et plus gros que les autres, et un peu rentrer les uns dans les autres. Ensuite Au niveau vestimentaire, la mage reste dans le classique, une veste, un haut avec ou sans manche. Une jupe avec collant en hiver, ou un pantalon. Un short l’été, ou une mini-jupe. Elle se fiche un peu de la couleur, elle porte souvent des sombres comme le noir. Mais il lui arrive aussi de porter du blanc, du gris, bref. Elle s’en fou, elle fait en fonction de son humeur.


   

         
   Histoire


Tes pieds avançaient, trainant ton corps. Plus légère. Plus libre. Plus délivrée tu ne disais pas un mot. Tu t’assis dans un coin, recroquevillée sur toi-même n’osant ouvrir tes fines et magnifiques lèvres rose pâle. Ta carnation était encore plus blanche que d’habitude. Elle ressemblait à cette neige que tu avais vu la dernière fois dans ton pays natal. Un manteau blanc avait recouvert la ville moderne et reconstruite. Une fois tout le monde passé jusqu’à ce tous les recoins soient comblés d’âmes, le passeur appuya son bâton contre la terre-ferme et fit partir la barque. Un silence de mort régnait en maître absolu. La barque avançait silencieusement dans l’obscurité des ténèbres laissant l’horizon et l’espoir s’éloigner au loin. La tristesse gagnait ton cœur.

Tu regardais la mort dans les yeux. Le dernier espoir de pouvoir retourner dans l’autre monde tombait petit à petit. Au fur et à mesure que le bâton ramait. Lentement, le voyage vers la fin commençait. Un long et pénible chemin tranquille sur le Fleuve Styx. Parfois, baissant la tête, tu apercevais des têtes, et vous entendiez des gémissements, des hurlements de rédemption et d’amertume. Tu n’avais plus aucun moyen d’échapper à ce monde. La Faucheuse avait pris ton âme lorsque ton temps fut venu. Tu ne souviens pas de tout. C’est flou. Et ça l’est d’avantage depuis que vous éloigniez de la lumière de la vie.

Les Enfers portaient bien leurs noms. Les différentes prisons qui s’y trouvaient servaient à ranger et classer les défunts après le passage dans l’au-delà. Tu ne pousses qu’un faible soupire. Condamnée tu étais ? Ou n’était-ce qu’une simple vision de ton futur ? Une vision montrée par un fantôme qui pouvait se tenir près de toi. C’était fort possible. Une vision qui concernait un futur plus ou moins proche. Une vérité qui blessait l’homme au plus profond de son être. Tu fais un petit signe de tête. Tu te rends compte que ta musique t’avait transporté. Et qu’un esprit se tenait là devant toi. En ré-ouvrant les yeux.

« S’agit-il d’un signe ? De ce que tu as vécu ? »

« Oui Madame. C’était effrayant Madame. »

L’esprit tournait autour de toi, apeuré, déconcerté. Il tremblait de partout et pourtant, tu te lèves. Passant en travers de lui. La valise à la main, tu enlèves le droit de ton oreille.

« Passe dans la lumière si tu as peur du noir, la porte des enfers ne s’ouvrirait pas si tu étais bon dans ta vie passée. » Fis-tu en esquissant un sourire. Et pourtant… l’esprit tenta d’entrer dans ton corps. Une aura mystique se dégagea et vint te protéger comme si tu avais prévu le coup. Le train s’arrête et siffle son entré en gars. On entend les roues qui décélèrent. Le bruit qui s’attenu emportant au loin le son des carillons d’une église. La Cathédrale de Varsovie.

C’était la même chose assez souvent ses derniers temps. Depuis que tu traversais les pays de long en large et en travers pour aider les gens. Les rumeurs les plus folles courraient sur ton sujet. Tu en avais l’habitude. Tu étais différente. Depuis le jour où tu avais éveillé ton cosmos. Plus rien ne fut comme avant. La réincarnation ? Mythe ou Croyance Spirituelle profonde ? Depuis des générations, les hommes s’évertuent à croire qu’il existe une vie après la mort. Une vie spirituelle, sur un autre plan d’existence. C’était surtout un besoin d’expliquer la disparition de ceux qu’on aimait par-dessus tout. C’est comme définir ce qui est bien et mal. L’exercice est difficile, et l’opinion divisée.

Pour ta part, tu y croyais fermement. La mort fait peur aux gens. Elle fait pourtant partie de la vie. La vie en elle-même est un éternel cycle de recommencement entre vie et mort. Enfin, pour toi qui est déjà morte, ça n’a que peu d’importance. Tu fais simplement ton travail ici et là. Tu jongles entra la vie et la mort depuis toujours. Alors pour toi c’était une vie normale. Une vie presque agréable. Même si celle-ci disparait avec le temps. Le temps que ton âme ne fasse plus qu’un avec ton étoile Céleste. Le sors était jeté. Comme les dés du hasard. Tout a commencé il y a fort longtemps, en Pologne, à Varsovie.

Tu te souviens de peu de choses. Tout est encore flou dans ta tête. La mémoire en avait pris un sacré coup depuis que tu avais pactisé avec le Seigneur des Enfers. Et que tu avais réveillé ton étoile Céleste. Tu sors de la gare, ne faisant pas du tout attention aux gens autour de toi. Une valise en main, un long manteau noir, et un chapeau noir. Tu te glisses comme une ombre dans la neige de la ville. Il faisait très froid aujourd’hui.

Tu te souviens du temps où tu arpentais ses rues avec l’innocence d’un enfant. Le bon vieux temps. Tu grinces les dents. Des souvenirs, enfin, des fragments de souvenirs remontent à la surface. Un peu comme l’écume de mer qui remonte avec la marée. Tu arrives sur la place centrale de Varsovie, le centre-ville. Une grande place avec des habitations, et des commerces de toutes les couleurs. Tu te souviens…

○○○○○


Tu entends des pas qui arrivent à grande vitesse. Ce sont les pas de ta mère qui suivent les tiens. Elle allait encore surement se faire gronder. Tu voulais la prévenir. Arrivée avant maman. Comme à chaque fois que ta sœur faisait une bêtise. Emmitouflée dans ta couverture, tu ouvres la porte de la cuisine comme une flèche. Tu observes, discrètement, puis tu passes. Refermant la porte derrière toi. Probablement pas à clé car tu avais autre chose à penser. Attendant le bon moment pour surgir. Une tasse de chocolat chaud dans la main, tu souffles sur la vapeur. Signe que le liquide marron était encore chaud. Tes joues deviennent rosâtres. Tu savais ou allait cette petite tête brune.

La petite graine qu’elles avaient plantée un peu plutôt avait finalement réussie à germer. Ha là là, des deux sœurs, tu étais probablement la plus réservée, la plus calme. La plus discrète aussi. Papa n’était pas là. Comme souvent d’ailleurs. Seule maman t’avait élevé avec Mirjana. Tu admirais beaucoup ta maman pour tous ce qu’elle faisait pour vous deux. Pour vous permettre de survivre. Enfin, non, pardon, de vivre tout simplement. Les revenus de père suffisait amplement à ce que votre mère ne travaille pas… Apparemment. C’est ce qu’elle répétait toujours. Quelque fois, la tristesse envahissait néanmoins ton cœur de petite fille et tu versais quelques larmes. Surement plus sensible que ta sœur sur le sujet. Elle était bien plus forte que toi après tout.

Cette petite fleur, qui allait pousser allait irrémédiablement faner à nouveau. Tu le savais. C’était un cycle éternel de vie et de mort. Tu ne comprenais pas pourquoi ta sœur s’acharnait à vouloir la faire vivre. Quelque part, cette graine brisée représentait ton lien avec ton papa. L’absence avait des torts que la raison ne pouvait résoudre. Papa n’était presque jamais présent. Comme en ce moment. Le timing voulait qu’il ne vienne vous voir qu’une fois par mois. A cause de son soi-disant travail. Oui bon, au bout d’un moment tu trouvais cette excuse minable. Mettre ainsi sa famille de côté… pour son travail. Devait être tout sauf sympathique. Tu ne connaissais pas autant le visage de père que Mirjana d’ailleurs.

"P'pa n'a pas menti! P'pa arrive bientôt."

Cette phrase tu l’avais dite souvent en passant la porte de la cuisine. Pas cette fois-ci puisque tu étais déjà là quand ta moitié arriva. Trop souvent tu avais espéré le voir venir te faire un petit bisous le soir. Le fleuve, était l’endroit où vous emmenais lorsqu’il revenait. L’eau. Votre père était un homme attiré par cette fabuleuse ressource qui recouvrait plus de la moitié de la planète. L’océan avait toujours été son point de chute. L’endroit où il aimait prendre du bon temps et se ressourcer en famille.

○○○○○○

Une statue fière trônait près du fleuve. La statue d’une ancienne Sirène. Une vaillante. Fidèle protectrice de la ville. Combattante tombée au combat. Il y a longtemps, très longtemps, au cœur du marché de la vielle ville les berges de la Wisla.  Elle tenait son épée fièrement. Tu t’avances. Lentement vers la statue. L’appareil photo à la main tu commences à sortir le matériel que tu trimballais sur ton dos depuis la gare.

Symbole de tentation, de mort, de férocité et de luxure, les sirènes représentent plutôt un personnage néfaste dans l’imaginaire commun. Ce sont elles qui charment puis mettent à mort les valeureux marins. Les comptes sont-ils donc toujours tirés d’une réalité ? C’est fort possible. Ce compte, tu l’as entendu mainte et mainte fois durant ta jeunesse. Cette histoire que l’on raconte aux enfants.

« Deux sirènes menaient la belle vie dans la mer Baltique. Un jour, sans qu’on en connaisse la raison, elles choisirent chacune de suivre un chemin différent. La première alla dans ce qui devient Copenhague. La deuxième remonta un fleuve large et accueillant jusqu’à un bac de sable bienvenu. Charmée par l’endroit, elle décida d’y rester.

La légende raconte  que c'est justement au pied de la Vieille Ville d'aujourd'hui qu`elle est sortie de l'eau sur le rivage sablonneux pour prendre un peu de repos. L'endroit qu'elle a vu lui aurait tellement plu qu'elle aurait entreprit de rester. Les pêcheurs qui habitaient ces terrains, quand ils s’aperçurent que durant leur pêche quelqu'un agitait les vagues de la Vistule, nouait les filets et libérait les poissons des nasses, prirent la décision d'arrêter le coupable et de lui infliger une peine pour l'empêcher de leur nuire une fois pour toutes.

Cependant quand ils entendirent le beau chant de la sirène, ils abandonnèrent leurs projets et ils commencèrent à aimer de tout leur cœur la belle femme-poisson, qui depuis ce temps, chaque soir, se
mise à chanter pour eux et leur rendait la vie meilleure par sa belle voix. Pourtant, par le heureux hasard, un jour, un riche commerçant en promenade sur les bords de la Vistule aperçut la sirène. Il décida de capturer la petite sirène, pour pouvoir la montrer ensuite lors des foires et fêtes foraines contre les paiements des spectateurs.

Par ruse il attrapa la sirène et l'emprisonna dans un hangar en bois, sans nourriture ni eau. Les plaintes de la petite sirène ont été entendues par un jeune valet de ferme, fils d'un pêcheur qui avec l'aide de ses amis, la nuit, s’en pressa de libérer la femme-poisson. La sirène par gratitude pour les habitants de la ville, venus à son secours, leur promis sa protection éternelle.

C`est pourquoi la petite sirène est encore aujourd'hui armée d'une épée et d'un bouclier lui servant à défendre Varsovie. »


Ce fleuve et cette statue, tu ne les connaissais que trop bien. Cette sensation t’était familière. Un autre flash, tu esquisses un simple sourire. Cette âme de sirène se trouvait là. Quelque part. Voilà, pourquoi tu étais revenue à Varsovie. Ton statu de Photographe indépendante n’est qu’une simple couverture. Mais qui te permettait d’être libre de tes mouvements.

« Valeureuse sirène de Varsovie. Quand as-tu cédé face au Dragon?  » Soufflas-tu d’une faible et douce voix.

Ce comte était-il vrai ? Au final, tu ne sus jamais la réponse. Il y avait beaucoup, beaucoup de versions différentes. Comme plusieurs alternatives. Plusieurs options de vie pour deux créatures mythologiques. Tout ce que tu sais. C’est que tu devais beaucoup à cette sirène. C’est grâce à elle, que tu pouvais encore arpenter ce monde comme il le fallait pour servir ton seigneur.

Les pulsations de ton cœur commencent à s’emballer. Petit à petit. Tu retrouves ce sentiment incertain que tu avais ressenti le jour où tu avais vécu ce drame. C’est aussi là que ta roue du destin fit basculer ta vie.

○○○○○


Un coup de feu retentit dans les rues. La Capitale était bondée de monde. Le retour du diplomate Czapski  au parlement Polonais avait vite circulé. Pourtant, ce fut fatidique. La popularité amenait forcément à la jalousie et à la haine. Une vision que tu avais eu ce jour-là t’avais permise de prévenir pa’pa juste à temps. Et lui avait permis de répliquer face à un adversaire bien trop prétentieux. Tu ne voulais pas qu’il meurt. Cela n’aurait jamais du arriver.

Prise de malaise le soir même de son arrivée. Son retour à la maison, tu lui avais tout dis. Pour la vision. Pour les morts. Et il avait continué à t’accepter comme sa fille. Il t’avoua qu’il était lui-même un peu spécial sur le coup. Une aura douce et pourtant sauvage et indomptable. Un élu. Un éveillé il l’était. Poséidon l’avait accepté qu’il t’avait donné en réponse. C’est pourquoi il déchaina son cosmos devant tout le monde ce jour-là.

Quelques minutes plus tard, ce fut d’abord le corps de sa femme qui s’étendit sur les marches du parlement. Fou de rage, la réplique fut immédiate. Ce dernier coup servirait non seulement à protéger ses filles, mais aussi à leur permettre de fuir. Loin. Très loin de la foule. Une symphonie se faisait entendre couvrant vos pas. Affolés. Tremblant. Les yeux remplis de chagrin et de haine. Votre vie venait de basculer. Du jour au lendemain, vous aviez presque tout perdu. Guidant ta sœur, main dans la main, le cœur serré, vos jambes courraient. Tu avais abandonné ton père… lâchement. Tu avais fuit toi aussi. Tu ne voulais pas. Tu voulais rester là-bas.

Et pourtant, c’est poussé par Mirjana que tu avais accepté de partir. Fuir. Il en fallait pas rester là. Surtout que les médias s’empareraient de l’affaire… Le pont fut notre seule échappatoire. Notre seule chance de survie. Il fallait sauter, qu’avait dit ta sœur. Sauter oui mais pourquoi faire ? Puisqu’ils nous rattraperaient ? D’une manière ou d’une autre ? Bloquées… Mirjana n’avait pas hésité elle. Tu te souviens de cette sensation désagréable de noyade. Il fallait pourtant que tu l’as sauve elle. La seule qui t’avait accepté telle que tu étais sans broncher. Ton autre toi. La jolie et tendre sirène de Varsovie, tu entendais son appelle. Tu la voyais aussi. Tu ne savais pas trop comment mais lorsque ton aura bleue se déclencha tu te sentie reposée. Comme fatiguée de lutter encore et encore.

La mort ce n’était pas quelque chose d’agréable. Tu ne souhaitais cela à personne. Tu avais voulu sauver ta sœur. C’est à ce moment-là tu crois que ton âme avait quitté la terre définitivement pour les enfers. Tu n’en étais pas certaine à l’époque. Tu te sentais différente. Dans tous les sens du terme.  Pourtant, tout ne se passa pas comme prévu. Aspirée par quelque chose ou quelqu’un, tu rouvris tes yeux. Quelques heures plus tard. Pas seule. D’abord tu aurais crus rêver. Mais tu te rendis bien vite compte que c’était la réalité. Tu étais bien vivante ? Pourtant, tu avais failli mourir noyer.

La sirène. C’était la responsable de votre sauvetage. Alexandre était son représentant. Votre nouveau protecteur aussi. Et sir Mirjana était l’épée par son cosmos tranchant et puissant. Toi tu serais le bouclier.  Ainsi commença l’entraînement. Une forêt. La nature. Tel fut l’environnement ou vous avez finit de grandir. Ce qui te toucha presque tout de suite fut la beauté de ce site préservé des hommes. Des leçons simples, de théorie comme de pratiques. Des compétitions toujours plus rudes entre vous. La vie était difficile.  Une cohabitation qui devenait finalement assez difficile.

○○○○○○


Tu te souviens d’une conversation sur le sujet d’ailleurs. Une fine conversation qui démontrait tout ce qui vous opposais. Vous étiez pareil sans l’être. Cela te fait sourire alors que tu entames une série de photo de la statue de la sirène. Quelques clichés tout au plus. Histoire de ne pas déranger l’esprit de la statue que tu apercevais et à qui tu souriais et demandait si elle se souvenait d’elle. Dans tes rêves, tu voyais la sirène dont Alexandre vous parlait et racontait les aventures.

"Folle à l'arrivée de la guerre, folle à l'idée que la ville soit de nouveau ravagée par de tristes désirs... ...L'aigle noir fut un mauvais hospice. L'hospice qui précipita la chute d'une antique sirène pour une deuxième guerre qui avait fait de nombreux morts et ce, moins d'un siècle avant notre existence."


Telles furent tes déclarations. Sérieuse comme à ton habitude. Tu avais dit ça d’une voix pénible. Frêle. Bégayante. Moins confiante aussi que ta sœur. Cette sœur si fière et courageuse. L’épée et le bouclier. Deux faces d’une même pièce.

"Crache le morceau, soeurette. C'est quoi le rapport entre elle et nous ? Qu'est-ce que ça pourrait bien lui apporter de s'intéresser à toi et à moi ?"

"On porte la marque, et on a entendu l'appel. Et si on peut l'entendre, c'est qu'on est les mieux placés pour la revoir. Ferme les yeux, il te suffira peut-être bien de comprendre qu'en ce silence, ce sont les chuchotements de ces soldats fantôme de la Guerre qui communiquent...Mais il y a autre chose pour moi, je crois..."

"Tu l'as vu, Miroslawa. Dans tes rêves. Tu es la plus proche d'elle pour l'heure, il est normal que tu sentes qu'il y ait quelque chose en plus..."

Tu te demandais si Mirjana détestait cette nouvelle vie loin de tout. Loin de cette Pologne qui était pourtant si proche. Loin de cette Varsovie que tu avais aimé dans le passé. Un abandon bien trop lourd de conséquence. Tu n’avais pas compris pourquoi elle ne t’avait pas crue. Pourquoi devait-elle absolument croire en Athéna, ou en Poséidon, et non pas en l’existence d’une simple sirène ? N’importe quoi… tu avais voulu qu’elle te revienne. Qu’elle ne te quitte pas, qu’elle ne quitte pas les enseignements de la sirène pour ce représentant. Pour cet Adam que tu n’appréciais pas. Cet Adam qui t’avait pris ta moitié.

Pourquoi devait-elle choisir ? Après tout la croyance n’était-elle pas quelque chose d’éphémère ? Ou ne servait-elle pas à redonner simplement espoir ? Sans doute. Plongée dans le mutisme, tu l’as regardée partir. Sans rien dire ni même faire quoi que ce soit pour la retenir. Le regard vide d’intérêt. Était-ce cette fois-là ? Que ton âme se perdit pour de bon ? Mirjana ? Pourquoi en étiez-vous arrivée là ? Votre vision des choses était-elle devenue trop différente ?

Tu fais un soupire. Peut-être ne se sentait-elle plus à sa place ? Peut-être avait-elle eu besoin de retourner là-bas ? Dans ce cas… tu comprendrais peut-être. Toi qui étais resté auprès de cette sirène et de son représentant Alexandre pour suivre ton entraînement. En première leçon, tu appris que cette sirène, et ce représentant étaient liés à Poséidon. De près ou de loin, et lui étaient fidèles. Miroslawa  Czapski   était officiellement disparue dans le même temps dans le monde réel selon les dires d’Alexandre. Tu n’existais plus. Le véritable entraînement pouvait donc commencer. Mirjana ne venait plus. Elle t’avait abandonné. Sans le moindre regret. Rejetée ? Peut-être bien. En tout cas, Alexandre se concentrait désormais sur toi.

La sirène te raconta bien des histoires. Vaincue durant la seconde guerre mondiale, elle avait tremblé plus d’une fois devant la destruction et le massacre de la Pologne. Et de cette ville qu’elle s’était jurée de protéger. Au péril de sa vie. Et quelque part, tu comprenais trop bien cette entité mystérieuse. Cette complicité qui te liait à elle venait peut-être de là… c’est ce que disait Alexandre en tout cas. La période d’apprentissage commença…. Et fut encore plus rude. Car la Sirène et Alexandre supervisaient tous les deux l’entraînement.

La méditation, te servait à élever le cosmos. Mais aussi à en accumuler. Après tout, tu l’avais éveillé depuis longtemps. Peut-être bien plus que Mirjana. Depuis ce saut dans le fleuve, et surtout, depuis que tu voyais les morts. Ces manifestations commencèrent juste après. Alors hasard ou destin ? Aucune idée..

○○○○○○○

Destin cruel. La morsure du serpent venimeux mit fin à tes jours. Surprise lors d’un entraînement, Alexandre n’arriva pas à temps pour te sauver. Et vu le peu d’argent qu’il avait, il ne réussit pas à trouver un moyen de transport afin de te livrer les soins nécessaires rapidement. Tu allais mourir. Seule. Faible. Lâchement. Encore une fois. Et pour de bon. Abandonnée de tous ceux que tu avais chéri autrefois. Seul la Sirène et Alexandre se montrèrent compréhensifs à ton égard. Trahison. Tu avais succombé.

Et ainsi tu avais franchi le pas. Le pas vers le royaume des ombres. Là où régnait l’empereur Hadès. La mort ne t’effrayait pas bizarrement. Tu avais toujours eu affaire à elle. La Sirène te raconta le nombre d’âme meurtries après la seconde guerre mondiale. En enfer. C’était là ta prochaine destination. L’obscurité. Le néant. Le vide. Rien. Tu fermais progressivement les yeux dans le monde réel. Pour que ton âme puisse enfin venir s’échouer à l’entrée du monde des enfers.  

C’était comme la vision de cet esprit. Tu revois encore la barque de Charon. Le passeur du Styx et de l’Achéron. Tu revois cet amas d’âmes errante. Tu revois la tienne parmi eux. Tu ne sais pas pourquoi Hadès c’est soudainement intéressé à toi. Toujours était-il que c’est à cet instant… que tu découvris ton étoile céleste. Celle qui se réveillait complétement. Et qui signifiait la fin de ton entraînement.

○○○○○○○

Tu élevas ton cosmos au paroxysme. Aux limites qu’il pouvait atteindre. Ta colère avait permis d’atteindre un stade de non-retour selon le seigneur des ténèbres. C’est ce stade de non-retour qui avait réveillé cette étoile qui sommeillait en toi. C’est pourquoi ton surplis avait rejoint l’endroit ou te trouvait désormais. L’Avènement du spectre que tu étais était là. Une étoile céleste tu étais devenue. Ton armure noire de j’aie se trouvait là devant toi. Nécromancien. Celle qui se servait des morts pour combattre. Histoire ironique vous ne trouvez pas ? Qui aurait imaginé que l’entraînement avec la Sirène et Alexandre se terminerait ainsi ?

Messagère de la mort, toi qui voit les morts, tu seras le guide des âmes perdues. Parce que le Seigneur Hadès et dame Perséphone te choisirent. Ayant passé ton contrat avec eux, tu ne pouvais plus reculer à présent. Tu perfectionnas ton entraînement en allant te battre avec Cerbère, en allant t’entraîner au plus profond des enfers, des les prisons. Surtout la prison de glace pour adapter ton corps à toutes sortent de climats. Tu de donnais des objectifs à atteindre. Comme celui d’être aussi forte que Mirjana. Tu n’avais pas oublié cette compétition et puis tu voulais prouver ta valeur, malgré le mutisme.

Tu ne lui pardonnerais sans doute jamais de t’avoir laissée derrière. Tu voulais lui prouver que tu existais encore. Même morte. Tu voulais vivre encore à ses côtés. Tu ne voulais pas laisser seule. Même si tu savais que désormais, cela te serait plus compliqué. Tu pouvais la protéger dans l’ombre. C’était ta jumelle après tout. Ton autre moitié.  Il fallait que tu t’entraînes encore. Que tu reçoives des coups. Encore et encore pour t’endurcir. Tu ne voulais pas succomber complétement. Tu lutterais jusqu’au bout. Tu voulais garder ta conscience humaine.

C’était un défi. Un défi que tu pouvais réussir en gardant le contrôle de toi. En guidant les esprits qui hantaient le monde des vivants vers le monde des morts. Tu remplirais ton contrat pour Hadès. Tu lui avais juré fidélité. Tu devais devenir plus forte pour toutes ses raisons. Mais aussi pour sauvegarder ton honneur, et ta fierté.

Tu ne voulais juste plus abandonner et fuir. Comme si de rien n’était. Et puis, tu voulais savoir la vérité sur ton père aussi. Pourquoi ce fit-il assassiné aussi violemment ? Ces cauchemars te hantent encore. Bien des années après. Bizarrement, tu n’éprouvais pas le désir de violence, contre les habitants de la surface non plus. Par rapport à d’autre spectres, tu utilisais des moyens plus en douceur. Tu ne supportais pas non plus la violence gratuite. Qui ne servait à rien. Enfin bon, tu verrais bien, tu t’adapterais aux différentes situations.




   

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