Nephthys Swelim

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Née en -356 Avant J.C, Nephtys est née sur le continent africain à l’ouest du Nil au Sud du Caire de l’Egypte antique, il y a de cela trois milles ans, au cœur de l’oasis du Fayoum. Sa famille originaire d’un clan de nomade se sédentarisa une première fois près d’un canal qui drainait les eaux du Nil, connu sous le nom de Brahr Youssouf.

Si au départ, ils ne voulaient pas avoir de rapport avec la Capitale égyptienne, parce que leur situation leur convenait très bien. Au bout d’un moment, la famille du se faire à l’idée que pour pouvoir survivre, et surtout manger à sa faim, il allait falloir immigrer et s’installer au Caire, afin de pouvoir vendre quelque chose sur le marché égyptien.

Ils ne pouvaient pas délaisser cette terre qu’ils avaient choisi pour vivre non plus. Alors ce fut avec regret qu’ils envoyèrent à tour de rôle, des femmes et des enfants. Les conjoints restaient là, et s’occupaient de la chasse et de l’agriculture. Cependant, ce n’était pas facile dans cette région désertique, alors ils quittèrent le canal et se rapprochèrent de l’oasis ou il faisait meilleur pour vivre. Sur décision du chef de la tribu.

C’est la famille de Nepthys qui arriva à convaincre le reste de venir s’installer au Caire en Égypte, en prétextant qu’ils n’étaient pas obligés d’y rester tous les jours. Son père se forma pour devenir tailleur de pierre, et ainsi participer à l’élaboration des grandes pyramides. Sa mère elle développa une passion pour la poterie et s’en servis pour améliorer les conditions de vie de sa famille.

Elle développa beaucoup ses capacités dans ce domaine, ce qui lui permit de créer de magnifiques vaisselles et vases. Cela permettrait de ramener un peu plus d’argent que ceux qui vendaient et fabriquaient des paniers ou qui vendaient des fruits cultiver sur le Nil. La vie était vraiment très dure, et les conditions d’hygiènes étaient pires. La maladie gagnait sans cesse lorsqu’un membre de la tribu tombait malade.

C’est dans cette ambiance que la jeune femme grandissait et qu’elle évoluait petit à petit. Elle recevait beaucoup d’amour de ses deux parents, et était une jeune fille très curieuse, intrépide. Elle s’en souvient comme si c’était hier, et depuis l’arrivée au Caire, les prières envers les dieux devinrent leur seul salue. Elle préférait son ancienne vie de nomade. Ainsi elle devait apprendre à grandir en se contentant du minimum, et surtout à résister à la faim. La famine frappant souvent lorsque l’argent manquait à la fin du mois. Malgré une famille soutenue et solidaire entre elle.

Sa vie pris une autre tournure, lorsqu’elle approcha de d’une vingtaine d’année et qu’elle sortait de l’adolescence, en effet, la jeune fille se fit attaquer par un briguant qui tenta d’en faire une esclave et de l’acheter à sa famille. C’est le jeune pharaon, fraîchement promu, Alexandre le Grand qui assistant à la scène fit entrer son autorité en jeu, pour l’aider.

Aider une roturière ? Vraiment ? Ou y’avait-il autre chose derrière ? Il y avait un peu des deux en effet, car enfant, Nephtys allait souvent traînée vers le palais. Faisant attention à ne pas se faire voir, elle réussissait là ou d’autre de sa petite bande échouait pour entrer dans les cuisines du palais. Lorsqu’elle échouait, et se faisait prendre, jeter dehors, elle recommençait et revenait à la charge avec détermination.

C’est Alexandre qui la fit entré au Palais en l’achetant à sa famille, d’une part pour la sauver, puis pour en faire une servante personnelle. Sa beauté était sans doute un critère que la jeune avait remarqué. C’est à partir de là, qu’elle reçue une éducation digne de ce nom, et qu’elle pouvait enfin apprendre à lire et à écrire au près d’un scribe. Elle le servait avec fierté et honneur faisant jalouser d’autre fille qui étaient là depuis plus longtemps qu’elle.

Sur la fin de sa vie, elle l’accompagne partout dans ses déplacements, ainsi qu’à Babylone ou elle est destitué de son rang. Alexandre estimant que sa dette envers lui était suffisamment payée. Il ne l’avait de toute façon jamais touchée car les femmes ce n'était pas trop son truc. Il lui avoua qu’il préférait la voir comme une amie proche que comme une servante, ou une maîtresse.

Elle meurt quelques jours plus tard, de sa maladie incurable dans le plus grand secret entourée de celui qu’elle aimait et de sa famille venu à Babylone pour l’occasion. Peu de temps avant qu’Alexandre ne meurt lui-même à Babylone. C’est ainsi que l’heure de sa mort, lorsque celle-ci illumina le gros carnet de la Faucheuse, cependant, elle lui proposa de rejoindre l’unité qu’elle avait créée afin de pallier la restitution des âmes dans le royaume des morts. Les Traqueurs. Elle reçut ainsi son arme, son Bersek, un sabre égyptien qu’elle connaissait bien.

Puisqu’elle servait pour se défendre durant ses déplacements aux côtés de son maître Alexandre. Ainsi elle pouvait continuer à faire son devoir dans l’au-delà.